décembre 2016

On distinguera les documentaires de société, d’affaires criminelles, d’histoire policières, de portraits (figures historiques, personnages emblématiques), d’histoire, d’évasion, de découverte, sur la nature, sur lécologie, la politique, la musique, les sciences (santé, sciences physiques, nouvelles technologies). Chaque genre de documentaire aura sa propre intensité musicale, en fonction des séquences et de et leur réalisations. La musique aura  beaucoup d’amplitude pour des images aériennes, et elle sera plus intimiste pour un portrait utilisant un éclairage et une ambiance très feutrée.

Comme pour la musique de film, la musique de documentaire doit relevée le même challenge : donner de l’éclat aux images et aux séquences  pour que le l’histoire que le réalisateur a voulu raconter procure avec cet apport mélodique un déclic, du plaisir, des émotions, des interrogations et du rêve.

Publié le 2 décembre 2016 par Medamusic 

La musique de film, appelée aussi « bande originale » est un ensemble de titres conçue uniquement pour un film par un compositeur, cela peut aussi être une sélection de titres choisie par le producteur et le réalisateur.

On remarquera que selon le genre cinématographique d’un film, la musique s’inscrira dans le style et l’identité propre du film. On notera le genre symphonique – orchestral pour les films d’actions, fantastiques, et de science – fictions comme : « Gladiator », « Dark Night », « Interstellar »  du compositeur Hans Zimmer ou bien « Star Wars », « Indiana Jones » de John Williams. De l’émotion avec James Horner dans « Titanic » et « Avatar ». Des grosses orchestrations avec beaucoup d’émotions avec Howard Shore dans « Le Seigneur des Anneaux ». Des musiques de suspense dans des thrillers comme « Dirty Harry », « Bullit » du compositeur Lalo shifrin ou  « Basic Instinct » du musicien  Jerry Goldsmith. Des musiques joviales un peu rétro comme dans le  film « Diamant sur canapé » du compositeur  Henry Mancini.

Il y a des mélodies qu’on identifie rapidement, comme le thème musical des films : « Le mépris » du compositeur Georges Delerue, « Terminator » de Brad Fiedel, « La panthère rose » de Henry Mancini, « Amicalement vôtre » de John Barry, « Le professionnel » de Ennio Morriconne , ou encore « Midnight Express » de Gorgio Moroder. Pour un film c’est une aubaine qu’un thème musical soit réussit et qu’il soit mémorisé par les gens, car il participe directement au succès d’un film.

En France les compositeurs de musique de film reconnus à travers le monde sont essentiellement : Ludovic Bource, « The Artist »… Alexandre Desplat, « The Grand Budapest Hotel »… Bruno Coulais,  « Océans » « Comme un aimant »… Vladimir Cosma, « La boom 2″… Michel Legrand, « Paris je t’aime »… Eric Serra « Léon », « Le grand Bleu »…

Voire un film à la télévision ou au cinéma sans musique pourrait être concevable mais s’avère beaucoup trop périlleux, car la musique donne l’intensité et la pulsion à des scènes qui nécessitent un soutien musical tout en donnant de la brillance au film. Ensuite, on pourra toujours émettre des critiques sur une musique qui peut être trop envahissante, pas adapté ou trop présente. A l’inverse quand la musique intensifie l’histoire du film, les émotions, et nous amène à verser une larme, on ne se lassera pas de voir et revoir le film. Finalement la réussite d’une bande originale tient dans la capacité qu’aura la musique à se glisser dans le film sans nous parasiter (les moments ou elle intervient, sa qualité, ses sonorités ). Le plus dur étant de réussir un thème principal avec des mélodies que l’on pourra mémoriser et identifier au film.